mercredi 29 avril 2009

Marx, Flaubert… et les icônes

Adaptation théâtrale d’Angéla Sauvage-Sanna
d’après le roman de Fabrice Vigne : Les giètes, éditions Thierry Magnier.
du 7 au 17 mai 2009 du jeudi au samedi à 20 h 30  – les dimanches à 18 h 30 
Avec : Benoît Musy, Angéla Sauvage-Sanna, Lionel Four et Fanny Veillet.
Mise en scène collective sous le regard de Lionel Four.  Image : Pierre Revol-Abel.


Maison de retraite, vieillesse, ennuis de santé… Mots qui font peur et sur lesquels on préfère jeter un voile et les ignorer. Cependant, on peut être âgé, avoir des problèmes avec son corps, vivre en maison de retraite et ne pas être coupé du monde. 
Ce spectacle, comme l’a écrit Fabrice Vigne dans son livre, veut montrer qu’au contraire on peut y mener une vie sociale, affective et intellectuelle… surtout si l’on a eu auparavant une vie riche en évènements.
 Ancien militant communiste et grand lecteur de la correspondance de Flaubert, Maximilien, veuf, s’ennuie un peu dans son studio du foyer-logement. 
Seules les visites de son petit-fils, passionné 
d’informatique et de photographie le distraient. Mais l’arrivée d’une vieille dame russe à la maison de retraite va changer son quotidien.

Édit : Une critique du spectacle par Le (tout)Petit Paumé: 
Maximilien, grand père de 79 ans et amateur de Flaubert nous entraine au cœur des méandres des relations humaines. A travers les échanges avec son petit fils, nous découvrons l’échange interrelationnel entre un ancien communiste profondément cultivé et la jeunesse débridée d’un étudiant de 24 ans. En parallèle Maximilien rencontre Lilia, une grand-mère russe du même âge. Orthodoxe, ayant fui le communisme, tout semble les opposer. Et pourtant, au détour de discussions, chacun enseigne à l’autre sa vision du monde. Cette pièce traitant des relations entre des personnes que tout oppose est une belle leçon de tolérance et d’humanité. Erika D’après le roman de Fabrice Vigne : Les Giètes.
Le site de l'auteur :

mardi 14 avril 2009



Café Poétique
mardi 28 avril à 20 h
Geneviève Vidal lira 
Le nombre de la lumière 
et autres poèmes
avec la comédienne 
Leïla Lovato
« La vie s’ouvre, le corps vacille… poésie vibrante, énigmatique et amoureuse qui s’attache à aux métamorphoses existentielles, au combat éternel entre Eros et Thanatos… » Paola Pigani.
En seconde partie, scène ouverte aux textes du public.
Animé par Lorraine Pobel et Jean Richy-Maury.

Histoires qui comptent